Notre secrétaire général communique l'intégralité de son dossier disciplinaire
Mettons à l’extérieur de l’Intérieur les zélotes de JUPITER
Le feuilleton disciplinaire voulant museler la Liberté d’expression des policiers et plus largement des français continue, avec le contenu de mon dossier disciplinaire.
Dans toutes les démocraties européennes, à l’exception notable de la France, les policiers rendent compte devant des organes de contrôle indépendants.
C’est pourquoi aujourd’hui je vous donne accès à l’intégralité de mon dossier disciplinaire ci-dessous en pdf, avec en exclusivité les observations de Gérard MILLER lorsqu’il m’avait accompagné à mon audition à l’IGPN le 22 janvier 2020.
En effet je me suis engagé pour être au service du peuple français et c’est à lui que je veux rendre des comptes. La confiance entre les policiers et la population passe par la transparence.
« Qu’ils viennent me chercher ».
A la différence d’Emmanuel MACRON je serais heureux de rendre compte devant les citoyens que j’ai juré de protéger, plutôt que devant une instance disciplinaire, qui va devoir proposer une sanction, sur des conclusions d’une enquête IGPN orientée. D’ailleurs, quelque soit la proposition de sanction ou de non-sanction, ce sera le ministre de l’Intérieur qui décidera seul de la sanction à mon encontre.
En dehors d’un capitaine et d’un commandant de Police, qui semblent avoir subi le poids de toute leur hiérarchie, qui retrouvons-nous dans ce dossier.
En premier lieu Monsieur Éric MORVAN, alors Directeur Général de la Police Nationale (DGPN), principal mis en cause. Au lieu de s’adresser à la Justice, il s’adresse à l’IGPN sous ses ordres. Ses instructions sont claires : il faut que l’enquête soit bouclée en 5 jours et sous-entend que le verdict doit être : coupable.
A l’IGPN, la directrice Brigitte JULIIEN, qui est choisie par le DGPN. Pour connaître le sérieux de ses enquêtes impartiales, je vous laisse revisionner son interview par Envoyé Spécial :
https://www.facebook.com/watch/?v=677918992939802
Elle est épaulée par les commissaires DEMOLY et CHANTREUX, qui sont cités dans mon livre « l’ennemi de l’Intérieur, dérives et dysfonctionnements de la Police nationale » :
https://www.lalibrairie.com/livres/l-ennemi-de-l-interieur--derives-et-dysfonctionnements-de-la-police-nationale_0-6358413_9791096132300.html
De plus Brigitte JULLIEN et David CHANTREUX avaient donné une interview concernant l’affaire, qui a coûté la vie à Steve à Nantes, lors d'une fête de la musique :
https://www.liberation.fr/france/2019/08/04/on-ne-dit-pas-circulez-y-a-rien-a-voir-entretien-muscle-avec-les-dirigeants-de-l-igpn_1743670
Mais la Police Judiciaire sous la conduite d’un magistrat indépendant n’a pas eu les mêmes conclusions :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/enquete/mort-de-steve-a-nantes-son-telephone-bornait-au-moment-de-l-intervention-policiere_2096707.html
L’IGPN a malheureusement l’habitude de falsifier les conclusions de ses enquêtes, quand des dysfonctionnements sont dénoncés en interne, comme l’a encore démontré un autre délégué de VIGI en obtenant pour la deuxième fois la condamnation de l’IGPN par la Justice :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/enquete/mort-de-steve-a-nantes-son-telephone-bornait-au-moment-de-l-intervention-policiere_2096707.html
Avec un mis en cause qui ordonne l’enquête, une directrice de l’IGPN, qui lui doit son poste et deux autres commissaires, qui apparaissent dans « l’ennemi de l’Intérieur », on ne peut que légitimement douter de l’impartialité des conclusions.
J’ai demandé à quitter la Police nationale pour poursuivre mon engagement au service de l’intérêt général et plus particulièrement des libertés individuelles, sans subir les pressions disciplinaires de directeurs et de politiques, qui préfèrent masquer les problèmes plutôt que de les résoudre.
Le ministre de l’Intérieur est autres responsables de la Police nationale ont donc une fois de plus choisi la voie de l’illégalité, en ne respectant pas les délais de réponse à ma demande, dans l’unique Le ministre de l’Intérieur et les responsables de la Police nationale ont choisi de ne pas répondre illégalement à ma demande. Leur but était de pouvoir essayer encore une fois de me briser et de détruire ma famille, pour me faire taire. Mais on ne peut pas faire taire la liberté d’expression et supprimer les libertés individuelles, décrets après décrets.
Si je suis toujours debout, c’est que je suis le messager d’un message collectif soutenu aussi bien par des policiers que des citoyens. Notre gouvernement veut abattre le messager, pour ne plus entendre le message. Mais il ne pourra pas faire mourir une valeur aussi essentielle que la Liberté et encore moins à un peuple, peut-être de gaulois réfractaires, mais surtout d’un peuple qui a toujours combattu pour sa Liberté, mais aussi pour une Liberté universelle.
Une minorité veut nous imposer sa Loi, alors qu’elle devrait exprimer un large consensus au sein de la population. Nous pouvons encore résister, alors mobilisons-nous tous ensemble.
En venant participer à la manifestation déclarée le 20 janvier 2021 de 8h30 à une heure après la fin de mon conseil de discipline :
https://vigimi.fr/f/actualites-fr/entry/manifestation-pour-defendre-la-liberte-d-expression-au-sein-de-la-police-nationale
En participant à la cagnotte mise en place pour mon pot de départ, pour me permettre de continuer notre combat en toute indépendance :
https://www.lepotcommun.fr/pot/sicpzkl1
En participant prochainement au projet demandant un IGPN Citoyen, pour un contrôle indépendant des policiers. Ce sera la première association qui rassemblera aussi bien des citoyens et policiers de terrain, pour réfléchir à quelle Police doit garder la paix en France. Sortons des discours clivants, sans aucun intérêt : « pour ou contre la police », pour coconstruire la Police nationale garante de l’intérêt général et de nos libertés. Ensemble invitons-nous au Beauvau de la sécurité. Restez attentif.
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